2011 fût l’année d’une remise en question professionnelle.  Après avoir passé plusieurs années dans le milieu médical en tant que secrétaire assistante, une frustration s’est insidieusement  installée :  je n’étais pas suffisamment actrice des soins et souvent impuissante face à la douleur et au mal-être des patients et de leur famille.

Ensuite, j’ai eu la chance d’intégrer un poste de commerciale dans une agence de  communication. J’y ai passé 3 ans. La communication au sens propre comme au sens «  publicitaire » ici, était source d’enrichissement.  Pour moi, communiquer c’est donner de soi et recevoir des autres.

Puis je suis rentrée dans une phase d’introspection et de recherche. J’ai  découvert le shiatsu qui est une technique de bien-être grâce à la communication par le toucher.

Je me suis inscrite à l’école Shiatsu Arts & Culture de Nizon où j’ai reçu un enseignement pratique et théorique du Shiatsu de Masunaga.

J’ai eu la chance de faire des stages avec des maîtres du Shiatsu, Mr Masanori Okamoto venu directement du Japon et Mr Stéphane Vien, praticien et enseignant canadien.

Aujourd’hui, avec  quelques années de pratique, je touche à une réalité qui me correspond, qui enrichit mon esprit et abreuve mon intellect. Au delà de l’approche zen du shiatsu, la notion préventive et «  réparatrice » des maux du corps et de l’esprit suscite mon intérêt.

Améliorer  sa qualité de vie, retrouver suffisamment d’énergie pour affronter le quotidien, aborder ses problèmes avec plus de légèreté, se tracer un chemin dégagé, etc. N’est ce pas ce que l’on recherche tous ?

Qu’y a t-il de plus précieux que la santé et la sérénité ?